Assassin’s Creed Valhalla : Ça donne envie d’y être en vrai!

Patrick Tremblay
Patrick Tremblay
lecture de 4 minutes

Assassin’s Creed: Valhalla, réalisé par Ubisoft Montréal, est arrivé sur nos consoles actuelles et celles de la prochaine génération depuis le 10 novembre.

Ubisoft Montréal a pu démontrer que malgré la pandémie, il est possible de sortir un jeu vaste en monde ouvert, d’y incorporer quelques trucs de la réalité auxquels nous faisons face quotidiennement et, surtout, de livrer un jeu qui a du punch!

Comme ses prédécesseurs, Assassin’s Creed Valhalla est un jeu d’aventure en monde ouvert à la troisième personne. Comme ses prédécesseurs, il y a là une histoire concernant une guerre à ne plus finir entre les Assassins et les Templiers. Ce coup-ci, comme son nom nous laisse le croire, le tout se déroule en l’an 873 lors des invasions de l’Angleterre par les hommes du Nord. Dans la peau du charismatique Eivor le bien-aimé des loups, un célèbre pillard de l’ère Viking, vous devrez mener vos troupes du clan des Corbeaux en Angleterre afin d’y fonder votre colonie en demandant l’aide des fils de Ragnar Lodebrock.

Dans le «monde réel», vous incarnez Layla Hassan, une chercheuse présentée lors d’Assassin’s Creed Origins, qui a également intégré l’Animus lors d’Assassin’s Creed Odyssey. Installée en Amérique du Nord près de la tombe d’Eivor, elle et son équipe tentent de percer le mystère entourant l’histoire – son histoire – encore une fois, grâce à l’Animus, une machine développée par les Templiers pouvant lire les souvenirs d’une personne via son ADN.

Le choix du sexe d’Eivor est vôtre, dès les premiers instants de l’histoire. Un «bug» dans l’Animus indiquera deux lignes du temps, l’une pour une femme et l’autre pour un homme. Également, pour la première fois de la série, vous pourrez personnaliser les traits de votre héros, allant de la simple couleur de la pilosité aux tatouages sur le corps.

Bien que la franchise demeure sensiblement toujours la même, l’ajout principal de Valhalla, le rendant énormément intéressant, est l’ajout des royaumes: de grandes sections de la carte gouvernées par leurs seigneurs. Vous devrez, de votre côté, vous rendre dans ces différents secteurs pour vous faire connaître, collaborer, développer des alliances ou pour piller et détruire. Qu’à cela ne tienne, vos décisions seront telles que, par moment, vous risquerez de douter à savoir si ce que vous faites en «bien»… ou pas. Si vous avez été berné, dupé ou si la cause est juste.

En soi, Eivor n’est pas un Assassin et n’est pas lié au crédo de ceux-ci. Il s’est fait donner une lame en cadeau par des amis rencontrés lors du précédent voyage en Angleterre de son frère Sigurd.

La gestion de bases personnalisables n’est pas nouvelle dans l’univers d’Assassin’s Creed. Cela dit, celle-ci aura un rôle majeur dans Valhalla puisque votre devrez faire grandir et prospérer votre village afin d’aider vos compagnons et votre clan. Tout tournera autour de celui-ci ainsi qu’autour de l’histoire du protagoniste.

Forge, bureau des Assassins, boutique de tatouage, filets de pêche… tout y passera, ou presque.

Assassin’s Creed Valhalla est définitivement l’un des meilleurs jeux en monde ouvert à ce jour. Quelques petits bugs par-ci, par-là… mais rien qu’un correctif ne pourra venir à bout.

Source : Le Journal Métro

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Père de famille, gamer, chroniqueur pour Métro Média, développeur de jeu indépendant et programmeur dans la vie de tous les jours : j'initie mes enfants au plaisir du gaming avec les classiques des anciennes générations ainsi que les jeux récents.
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