Arpenter les rues de Shibuya en tentant de sauver la ville
Le studio FuRyu nous présente Reynatis. Un jeux de rôle qui vous amènera à découvrir la ville de Shibuya à Tokyo. Vivez l’aventure de Marin et de Sari, deux personnages aux destins opposés qui tentent de sauver le monde qui leur est chère. Dans un Tokyo actuelle, vous découvrez des êtres dotés de magie qui sont soit dans les forces de l’ordre ou sont des parias qui doivent se cacher pour éviter d’être emprisonner pour avoir utiliser la magie illégalement. Une quête qui vous fera plonger dans l’idéologie des deux personnages.
Scénarios
J’aime beaucoup les jeux qui confronte les idéologies et qu’on découvre un antagoniste au fil que le jeu avance. Ce titre ne fait pas exception, les combats sont bien fait. On comprend bien Sari qui a choisi la voie de la justice pour l’utilisation de sa magie. Toutefois, Marin est un magicien paria, qui veut acquérir le plus de puissance pour retrouver la liberté. Les quêtes annexes, sont assez simple. J’ai bien aimé l’utilisation de l’app mobile pour recevoir les quêtes. Cela me rappelais le fonctionnement des quêtes dans Spiderman. Les quêtes diminueront votre niveau de malice et débloqueront des Wizart supplémentaire. Les Wizart sont des graffitis que l’on retrouve un peu partout sur la carte. Dans certains cas, il s’agira d’argent ou d’expérience supplémentaire et d’autres fois, il s’agira de nouvelles attaques pour vos personnages. Les attaques sont disponibles pour tous les personnages, vous devrez vous assurez de combiner adéquatement les attaques avec vos compagnons avant les combats.

Néanmoins, le concept de la magie caché sous le capuchon est bien pensé. Pour dévoiler son pouvoir, on doit baisser son capuchon. On peut le faire à n’importe quel instant et quand on a épuisé nos réserve de magie, le capuchon se relève. Un bel indicateur qui indique qu’il est temps d’esquiver pour récupérer de la magie. On récupère de la magie lors d’esquive réussie. Pour ce faire, les esquives doivent être fait en combat et sont un peu plus complexe, parfois même nécessaire pour remonter la jauge de magie. J’ai même dû à quelques reprises me laisser attaquer volontairement pour pouvoir effectuer des esquives. Si vous abaisser la capuche en pleine rue, les passants vous signalerons à la police magique et votre niveau de stress augmentera. Si vous attendez trop avant de trouver refuge, un regroupement militaire, vous réduira en poussière assez rapidement.
Jouabilité
Les contrôles sont simple, on parle d’un jeu de combat en zone ouverte comme on le voit dans plusieurs jeu. Les attaques spéciales sont variées et sont placé selon le désir du joueur dans les touches rapides. Toutefois, l’utilisation des textos a pour l’échange avec des individus que l’on croise au cours de l’aventure m’a déplu. Ce n’était pas nécessaire, la majorité des conversations sont inutiles et n’apporte rien à l’histoire.

De plus, les combats sont facile et le changement de personnage est rapide et efficace. Cela permet d’apporter des coups spécifiques durant des phases de combat de l’ennemi. Dans les combats de mobs c’est complètement inutile. Le niveau de difficulté ne nécessite pas de changer de personnage.
Graphiques et trame sonore
La ville de Shibuya est bien représenté, j’ai comparé le visuel de certaine rue avec Google Earth et j’ai été grandement surpris par l’exactitude des lieux. Que ce soit les restaurants et ou les grands carrefour de la ville.
Tellement d’effort ont été mené sur le décor que les graphiques des personnages est bâclé. Aussi, certains personnages, on ne voit même pas l’iris des yeux, tout comme les costumes qui ont des coupes trop carré. Cela a nuit énormément à l’expérience de jeu. On perd le rythme lors de chaque changement de zone, ce qui engendre un chargement de page. Lors de la même quête, j’ai dû patienter pendant 7 écran de chargement c’est atroce.

Pour ce qui est de la trame sonore, c’est tout de même une réussite. Je m’attendais à rien de moins de la part de Yoko Shimomura, qui a signé les trames de plusieurs Final Fantasy, de Street Fighter et Xenoblade.
Conclusion
Il s’agit d’un bon divertissement, si les moments de chargement ne vous dérange pas trop. C’est 25h en moyenne de jeu pour compléter le tout avec les quêtes annexes. Vous aimerez assurément le système de combat et la ville de Shibuya. J’aurais opter pour un plus grand raffinement de l’histoire et des graphiques afin d’optimiser le sentiment immersion dans le jeu. On est loin d’un Final Fantasy qui réussi très bien à nous faire plonger dans le monde fantastique. De plus, les monstres qui s’infiltrent dans la ville, vous donnerons sûrement un challenge intéressant, mais avec le système d’esquive et le changement de personnage en cours de combat pour optimiser les attaques magiques, vous devriez bien vous en sortir.
Un énorme “Merci” à FuRyu pour la copie du jeu.
Nom du jeu | Reynatis |
Date de sortie | 27 septembre 2024 |
Développeur | Natsume, FuRyu |
Franchise | |
Éditeur | FuRyu, NIS America et ARC system work |
Plates-formes | Nintendo Switch, PC, PlayStation 4, PlayStation 5 |
Genre | Jeux de rôle, Aventure |
Mode de jeu | Solo |
Langue | Audio: Japonais Anglais pour l’interface et les sous-titres |